Entre petits mensonges et secrets dévastateurs, une peinture aussi tendre que mordante de la famille.
Jill, veuve depuis peu, à la tête d’une belle famille, 3 fils, 2 belles-filles, 4 petites-filles, reçoit un étrange message intitulé « Il faut que tu saches ». Mais il est si tentant de se voiler la face et de s’accrocher aux apparences du bonheur…
Jusqu’à ce qu’un terrible accident de voiture les fasse voler en éclats.
L’auteur :
Nicola Moriarty, née le 30 juin 1981 en Australie, est la plus jeune de la fratrie qui compte déjà deux auteures de talent: Jaclyn et Liane Moriarty (Le secret du mari, Petits secrets, grands mensonges, Set et match !…). Mais Nicola n’a rien à leur envier semble-t-il.
Sur la route, les mensonges tuent est son premier roman publié en France, mais ses cinq autres romans ont eu beaucoup de succès en Australie.
À 11 ans, son professeur d’école primaire, M. Bamford a écrit ces mots sur son bulletin scolaire : « Nicola a le don de pouvoir écrire d’excellentes histoires en peu de temps. » Nicola a pris ces mots à cœur depuis et les a également interprétés comme signifiant qu’elle peut toujours laisser son écriture jusqu’à la toute dernière minute avant son échéance.
Ses deux premiers romans, Free-Falling et Paper Chains, ont été publiés par Random House Australia en 2012 et 2013. Free-Falling a été traduit en néerlandais et en allemand et a reçu le titre de « Best Australian Debut » du Chicklit Club. Paper Chains a ensuite été repris pour publication aux États-Unis par HarperCollins et y est sorti en 2019.
Son roman d’amour Captivation a été publié à la fois sous forme de livre électronique et imprimé dans le cadre d’une collection d’histoires d’amour intitulée All My Love. Elle a depuis conclu que l’écriture de romance n’était pas son truc. Elle a également écrit deux nouvelles sur le thème du voyage pour les anthologies UK Sunlounger, qui étaient des best-sellers d’Amazon.
Tout en complétant un BA avec une majeure en écriture à l’Université Macquarie, elle a reçu le prix Fred Rush Convocation pour l’écriture créative / critique littéraire dans la littérature australienne.
En 2017, Nicola a publié son troisième roman, La Cinquième Lettre. Publié par HarperCollins en Australie et aux États-Unis et par Penguin au Royaume-Uni, il figurait parmi les dix meilleurs vendeurs en Australie et vient de se faufiler sur la liste des best-sellers de USA Today ! Il a été traduit en allemand, néerlandais et hongrois. Les droits cinématographiques de The Fifth Letter ont également été achetés par Universal Cable Productions.
Le quatrième roman de Nicola, These Other Women est sorti en Australie, aux États-Unis et au Royaume-Uni en 2018 et a été un best-seller d’Amazon. Il a également été traduit en hongrois. Marian Keyes avait ceci à dire à ce sujet : « Je l’ai dévoré, adoré et totalement échappé dedans… Amusant et d’actualité. »
En 2019, Nicola a sorti son cinquième roman, The Ex (connu sous le nom de The Ex-Girlfriend au Royaume-Uni). L’Ex a également été traduit en néerlandais et plusieurs producteurs recherchaient les droits du film avant même qu’il n’atteigne les étagères, les droits étant optés par une société australienne plus tard cette année-là. Il s’est également classé au 25ème rang des 100 meilleurs livres de Better Reading pour 2019 et au 15e rang des livres australiens préférés de Booktopia pour 2019.
Le dernier roman de Nicola, You Need to Know est sorti en Australie et au Royaume-Uni en 2021 et sera traduit en français et en néerlandais. Il a atteint le top 10 des best-sellers en Australie et le Sydney Morning Herald avait ceci à dire à propos de You Need to Know : « Moriarty a un don pour le drame domestique, un rythme effréné et un timing narratif habile. »
Nicola Moriarty habite à Sydney avec son mari et leurs deux filles. Elle s’est mise à écrire pendant sa reconversion professionnelle, alors que ses filles étaient encore au berceau, et qu’elle jonglait entre les biberons et les bancs de l’université.
La famille est toujours au cœur de ses romans ; et pour cause, Nicola est la petite dernière d’une fratrie de six enfants. Elle vit dans la peur constante d’être comparée à ses aînées, romancières à succès. Elle sait raconter des histoires comme personne, mais elle avoue son incapacité à accomplir des tâches telles que mettre une clé sur un porte-clés, faire des nœuds sur des ballons de baudruche, tresser les cheveux ou encore appliquer de l’eye-liner. Heureusement, aucune de ces aptitudes n’est indispensable à la carrière d’une romancière.