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… vu par Arlette

Steel Danielle ♦ Espionne

Certains secrets ne peuvent être révélés…

A 18 ans, Alexandra Wickham, jeune aristocrate anglaise à la beauté renversante, semble promise à un destin privilégié.

Mais à l’aube d’un nouveau conflit mondial, sa bravoure et son goût du risque vont la conduire sur une tout autre voie. Infirmière bénévole, polyglotte, Alex est bientôt recrutée par les services de renseignement. Après plusieurs missions sensibles en Allemagne et en France, elle devient experte en matière d’espionnage.

Mais si elle revient toujours vers Richard, le pilote qui a conquis son cœur, il lui est interdit de révéler quoi que ce soit de sa double vie.

Au fil des années, aux quatre coins du monde, leur couple survivra-t-il à cette existence menée sous le sceau du secret ?

 

L’auteur :

Danielle Steel, née Danielle Fernande Dominique Schuelein-Steel le 14 août 1947 à New York, États-Unis, est une écrivain américaine de romans d’amour à succès.

Danielle Steel est la fille unique de John Schulein-Steel, descendant des fondateurs et fabricants de la bière Löwenbräu, et de Norma da Câmara Stone dos Reis Schuelein-Steel, fille d’un diplomate portugais.

Après le divorce de ses parents en 1955, elle est élevée par des parents à Paris et à New York.

À ses 15 ans, elle obtient son baccalauréat au lycée français de New York.

En 1963, elle est admise à la Parsons School of Design de New York.

Le stress dû à l’obsession de la réussite la pousse à renoncer à son rêve de de devenir « la nouvelle Chanel » et elle s’inscrit à l’Université de New York, où elle étudie jusqu’en 1967.

La maladie l’empêche d’achever ses études, et quand elle se rétablit, elle épouse en 1967 Claude-Eric Lazard, un banquier français qui possède des résidences à New York, San Francisco et Paris.

Très vite lassée de la jet-set et contre l’avis de son mari, Danielle Steel décide de trouver un emploi. C’est ainsi qu’en 1968, elle est embauchée en tant que vice-présidente des relations publiques de l’agence de publicité Supergirls, Ltd., de New York. Lorsque la société ferme ses portes en 1971, Danielle Steel se tourne vers l’écriture de romans et de poésie. Un de ses clients, alors éditeur du Ladies Home Journal, lui suggère de s’essayer à l’écriture.

En 1973, son premier roman Going Home (Au nom du Cœur) est publié. Le succès est modeste, mais sa carrière s’envole avec la publication de Passion’s Promise (Les promesses de la passion).

Vers la même époque, son mariage bat de l’aile, et elle se consacre à l’écriture à temps plein.

Ses cinq romans suivants sont tous refusés par les éditeurs, avant que « Les Promesses de la passion » (Passion’s Promises) ne soit édité en 1977.

A partir de là, la carrière littéraire de Danielle Steel est lancée. Son roman suivant, « Leur promesse » (The promise, 1978) se vendra à plus de deux millions d’exemplaires.

Avec près de 80 best-sellers publiés en France, plus d’un demi-milliard d’exemplaires vendus dans 69 pays et traduits en 43 langues, Danielle Steel est l’auteur contemporain le plus lu et le plus populaire au monde. Depuis 1981, ses romans figurent systématiquement en tête des meilleures ventes du New York Times. Elle figure sur la liste des best-sellers du New York Times pendant 381 semaines consécutives, ce qui lui vaut d’être citée dans le Livre Guinness des records.

Depuis 1981, ses romans figurent systématiquement en tête des listes des meilleures ventes du New York Times. Elle est restée sur les listes des best-sellers pendant 390 semaines consécutives, ce qui lui vaut d’être citée dans Le Livre Guinness des records. Mais le succès de ses livres et sa notoriété n’ont en rien modifié sa personnalité particulièrement attachante… Et Danielle Steel ne se contente pas d’être écrivain. Très active sur le plan social, elle a créé et dirige deux fondations, l’une, la Nick Traina Foundation, du nom de son fils défunt, consacrée aux personnes atteintes de maladies mentales et aux enfants victimes de maltraitances, la seconde, chargée de venir en aide aux sans-abri.

Auteure prolifique, Danielle Steel dit passer des journées de près de 20 heures pour se consacrer à son travail d’écriture. Décrivant comment elle travaille, elle dit toujours utiliser son Olympia, machine à écrire fabriquée en 1946, vêtue d’une robe de chambre en cachemire et prenant régulièrement du chocolat noir. Elle confie à Tina Jordan, journaliste au New York Times, « Je travaille 20 heures d’affilée, collée à mon bureau, parfois 24 heures de suite. Trente-six heures une fois, quand je ne pouvais tout simplement pas quitter l’histoire».

Son exceptionnelle puissance de travail lui permet de mener trois livres de front, construisant la trame du premier, rédigeant le second et peaufinant le troisième, et de s’occuper des adaptations télévisées de ses romans. Toutes ces activités ne l’empêchent pas de donner la priorité absolue à sa vie personnelle. Avec ses huit enfants, elle forme une famille heureuse et unie, sa plus belle réussite et sa grande fierté.

Sa pratique d’immersion totale dans l’écriture suscite admiration et questionnements.

En 1997, marquée par le suicide de son fils Nick Traina, qui l’a anéantie mais auquel elle a donné un sens en racontant la maladie de son fils dans un très beau livre, Un rayon de lumière, et en fondant la Nick Traina Foundation qui finance la recherche contre les maladies mentales, la thématique de ses romans prend un tournant nouveau avec une coloration tragique abordant le cancer, la stérilité, les heures sombres du nazisme, les conditions de vie dans un camp de prisonniers tenus par les Japonais durant la Seconde Guerre mondiale, la guerre du Viêt Nam, etc.

Elle s’intéresse par ailleurs passionnément à l’art contemporain. Longtemps propriétaire d’une galerie d’art, elle continue d’organiser et de sponsoriser de nombreuses expositions consacrées à de jeunes artistes de talent.

En 2019, elle figure à nouveau sur la liste des best-sellers du New York Times avec la sortie de son roman Blessing in Disguise.

C’est en 2007, le 8ème auteur le plus traduit dans le monde, derrière Barbara Cartland, mais devant Stephen King.

Vingt-deux romans ont fait l’objet d’une adaptation à la télévision.

Danielle Steel a été mariée cinq fois et est mère de neuf enfants, cinq filles et quatre fils.

En 1965, elle épouse Claude-Eric Lazard et ils divorcent en 1974. Le couple a une fille : Beatrix Lazard Seidenberg.

  En 1975, elle épouse Danny Zugelder dans la cantine de la prison où il purgeait une peine pour vol. Ils divorcent en 1978.

 En 1978, elle épouse William George Toth. Ils divorcent en 1981. Ils ont un fils Nick.

En 1981 , elle épouse John Traina déjà père, comme elle, de deux enfants. Ils en auront cinq ensemble : Maximilian John Traina, Samantha Traina – Vanessa Danielle Traina – Victoria Lea Traina et Zara Alexandra Traina. John Traina adopte Nick qui devient Nick Traina. Ils divorcent en 1997.

En 1998, elle épouse Thomas Perkins, mais ils divorcent en 2002.

Elle ne pense pas malgré ces cinq divorces que l’être humain soit fait pour vivre seul, car cela signifie n’avoir personne pour partager ses joies ou ses peines. Pour elle, il n’y a rien de plus merveilleux que d’être la moitié d’un couple sain où chacun fait des efforts de partage.

Elle est très active sur le plan social et dirige la Nick Traina Foundation, consacrée aux personnes atteintes de troubles psychiatriques, du nom de son fils qui s’est suicidé lors d’un épisode dépressif lié à ses troubles bipolaires.

Cette femme de cœur qui voulait devenir religieuse lorsqu’elle était enfant, s’est également investie depuis plusieurs années, avec l’équipe de la fondation Yo ! Angel ! Elle a sillonné les rues de San Francisco par un froid hivernal, distribuant vivres et couvertures aux sans-abri.

Danielle Steel a longtemps vécu en Europe et a séjourné en France durant plusieurs années (elle parle parfaitement le français) avant de retourner à New York achever ses études.

Elle a débuté dans la publicité et les relations publiques, puis s’est mise à écrire et a immédiatement conquis un immense public, de tous âges et de tous milieux, très fidèle et en constante augmentation.

Elle partage son temps entre ses résidences de Paris et de San Francisco. Elle possède deux cultures, française et américaine. Elle a grandi en France et aux États-Unis et elle estbilingue. Elle parle aussi espagnol et italien. Elle a neuf enfants (5 filles et 4 garçons) qui sont grands maintenant.

Elle écrit : « Je leur consacre énormément de temps, ils sont la lumière de ma vie. Cela ne signifie pas que nous n’avons pas vécu de moments difficiles. Tout le monde en a. Mais le bonheur qui nous unit l’emporte largement sur les soucis et les peines. J’ai passé des milliers d’heures à les conduire à droite et à gauche, j’ai assisté aux matchs de foot, j’ai accompagné cinq petites filles à leurs cours de danse classique pendant des années, j’ai embarrassé mon fils en l’acclamant trop fort à ses rencontres de la crosse. J’ai essayé d’être présente pour eux lors des jours difficiles, quand ça n’allait pas, et ce que je déteste le plus, maintenant qu’ils sont plus âgés, c’est que je ne peux pas tout « régler ». Je ne peux pas embrasser leurs bobos lorsqu’ils se sont fait mal. Je ne peux pas dire aux gens de se montrer gentils avec eux ni les protéger contre les souffrances et les déceptions de la vie. Je ne souhaite que leur bonheur, qu’ils soient en bonne santé et en sécurité. Mais aussi grand que soit l’amour que je leur porte, je ne peux rien promettre. Et je hais ce sentiment. Je chéris le temps que nous passons ensemble. Nous nous rendons souvent visite et nous sommes très proches. Ils viennent très régulièrement chez moi (je déteste ne plus les avoir à la maison et j’aimerais tant pouvoir remonter le temps. Si seulement j’en avais le pouvoir !). Nous profitons des jours fériés pour nous retrouver, nous partons en vacances ensemble. Je respecte leur choix de poursuivre une carrière dans la mode, les affaires, le Web ou le cinéma. Quant à mon aînée, elle est assistante sociale dans un service d’oncologie pédiatrique, un travail inestimable. »

La plus jeune vit toujours avec elle. Elles passent de très bons moments ensemble, et s’intéresse aussi profondément aux questions qui les préoccupent.

Elle délaisse parfois sa chère machine pour faire la tournée des grands couturiers. Ses favoris : Dior, Saint Laurent, Chanel, Givenchy. Mais elle aime aussi les boutiques Zara. Elle a suivi une formation de couturière, mais elle n’a jamais travaillé dans la mode. Elle est quand même restée une mordue de design. Elle adore le stylisme et s’adonne à la décoration d’intérieur dès qu’elle en a l’occasion, pour elle-même, pour ses enfants ou ses amis.

Si elle fréquente les grands restaurants parisiens, Apicius ou Le Voltaire, chez elle, Danielle se nourrit d’œufs durs, de crackers et de chocolat, ne boit jamais d’alcool et prend exceptionnellement un décaféiné ! « Je préfère l’eau », avoue-t-elle ! Elle n’est pas douée en cuisine et n’est pas du tout sportive.

Exploitant le riche filon de son image, elle crée en octobre 2006 le parfum Danielle by Danielle Steel, développé et commercialisé par Elizabeth Arden. C’est le seul écrivain à avoir un fan-club en France qui compte près de 30 000 membres, qui figure au Guinness Book des records depuis 1989, pour avoir figuré avec au moins un titre dans la liste des best-sellers du New York Times pendant 381 semaines.

Elle a été élue l’une des « dix femmes les plus influentes au monde » en 1981 par une université américaine, et est Chevalier des Arts et des Lettres en France depuis 2002.

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