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… vu par Arlette

Sizun Marie

Marie Sizun est née en 1940. Elle grandit et fait ses études à Paris.

 Agrégée de lettres classiques en 1964, elle devient professeur de littérature en France avant de partir à l’étranger enseigner le français dans des Écoles européennes, d’abord en Allemagne, pendant dix-sept ans, puis en Belgique.

Mère de trois enfants, elle est de retour à Paris en 2001.

 Marie Sizun a été enseignante de lettres classiques à Paris, en Allemagne ainsi qu’en Belgique.

 Marie Sizun a reçu Le grand prix littéraire des lectrices de Elle pour son roman La Femme de l’Allemand.

 Elle est également la lauréate du sixième Prix des lecteurs du Télégramme, le Prix Jean-Pierre Coudurier, toujours pour La femme de l’allemand.

 Avant d’être un nom de plume Marie Sizun est aussi celui d’une peintre qui de temps en temps expose ses toiles lors de petites expositions estivales.

 Amoureuse de la Bretagne, la romancière se choisit pour pseudonyme le nom d’un cap breton en souvenir d’heureuses vacances.

Elle obtient le Grand prix des lectrices de « Elle » en 2008, pour son roman La femme de l’Allemand.

Marie Sizun a écrit toute sa vie des petits textes courts, des nouvelles, mais c’est à l’âge de la retraite qu’elle décide de se consacrer pleinement à l’écriture.

A l’âge de 65 ans, Marie Sizun publie son premier roman qui n’a pas trouvé d’éditeur puis s’est lancée dans un roman autobiographique, « Le Père de la petite » (Arléa, 2005). Elle évoque dans ce livre le retour de son père, prisonnier de guerre, à la fin de la seconde guerre mondiale. Elle était alors petite fille, et a été marquée à jamais par cet évènement.

Dix huit-mois plus tard paraît « La femme de l’Allemand » (Arléa, 2007) où l’on retrouve, dans un style sobre et pudique, les mêmes interrogations autour de l’Histoire, la filiation et l’amour.

Marie Sizun est une jeune romancière de soixante-huit ans, élégante tout en étant simple. Cet ancien professeur de lettres a décidé, à l’âge de la retraite, de se lancer dans l’écriture de romans. L’idée lui avait traversé l’esprit bien avant, mais trois enfants et un travail ne permettent pas de dégager le temps nécessaire à ce genre d’aventure.

Parallèlement a ses études de lettres, Marie Sizun a suivi des cours de psychologie. Elle est donc sensibilisée aux maladies mentales, notamment à la psychose maniaco-dépressive. C’est une maladie terrible mais intéressante dans le sens où elle exalte ce qu’il y a de plus profond dans l’être humain.

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