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… vu par Arlette

Martin-Lugand Agnès ♦ La Datcha

Dernier roman d’Agnès Martin-Lugand

Une narration débordante d’humanité qui vous lie aux personnages et vous invite à partager leurs émotions, le tout en abordant des thèmes sensibles tels que l’amour, l’abandon, la filiation et le deuil.

« La Datcha » invite à suivre les pas d’Hermine, une jeune femme de 21 ans sans repères, cabossée par la vie qui a connu la rue, la prostitution, une relation particulièrement complexe avec les hommes, abandonnée dès l’enfance, qui croise par hasard la route de Jo, tenancier d’un hôtel provençal dans le Luberon.

Elle a un petit air de sauvageonne lorsque Jo la rencontre. Il est un peu ours, mais elle n’a vraiment rien à perdre. Il la ramène à La Datcha, une vieille ferme restaurée, rebaptisée « La Datcha », où se côtoient des couples, des familles, des personnes célèbres ou des inconnus, où les vacanciers viennent certes se ressourcer, mais où elle va non seulement trouver un endroit où poser ses valises, mais également une véritable famille d’accueil…

Jo lui propose un travail (femme de ménage) dans son hôtel. Pour cette enfant abîmée, en errance, une nouvelle chance se présente. De celles qu’elle n’avait encore jamais croisées.

Et c’est une véritable famille qui accueille Hermine. On y trouve les propriétaires Jo et Macha d’origine russe et particulièrement bienveillante, qui ont su insuffler de la magie à l’endroit, leur fils Vassili, Charly le cuistot de l’hôtel. Mais aussi Diane, Reine, Hortense ; Véra ; Iris ; Yael et Ava…

Nous la retrouvons ensuite 20 ans plus tard, dévoilant une héroïne mariée, mère de deux enfants et véritable pilier de l’établissement qui l’a accueillie. Aujourd’hui, elle a bien changé, elle s’épanouit dans son métier et sa vie.

Mais la mort de Jo, suivie peu après par celle de Macha, va tout bouleverser. Que va devenir Hermine ainsi que tous ceux qui travaillent à la Datcha ? L’arrivée de Vassili, le fils de Jo et Macha, va provoquer beaucoup d’inquiétudes et raviver des souvenirs chez Hermine alors qu’elle croyait la page tournée.

On effectue ensuite de nombreux allers-retours dans le temps, levant non seulement le voile sur les évènements qui se sont déroulés durant ces vingt ans, mais révélant également des secrets enfouis bien plus profondément, datant d’avant son arrivée à la Datcha !

 

L’auteur :

Agnès Martin-Lugand est une romancière française née en 1979 à Saint-Malo en Ille-et-Vilaine (Bretagne).

Après 6 ans d’exercice en qualité de psychologue clinicienne dans la protection de l’enfance à Rouen, Agnès Martin-Lugand se consacre aujourd’hui à la littérature.

Elle analyse et dissèque avec finesse, humour et tendresse les mécanismes de l’âme humaine pour nous livrer des récits qui nous parlent et qui nous vont droit au cœur.

Elle s’essaye ensuite à l’écriture avec son premier roman Les gens heureux lisent et boivent du café. Malheureusement, aucune maison n’accepte de l’éditer. La jeune auteure ne se décourage pas pour autant et tente l’aventure de l’autoédition numérique en 2012. Elle publie son premier roman, Les gens heureux lisent et boivent du café, en autoédition sur la plate-forme Kindle d’Amazon.com le 25 décembre 2012. Son livre est alors disponible sur Amazon se classe rapidement dans les meilleures ventes Kindle.

Vite repérée par des blogueurs littéraires proches du milieu de l’autoédition, elle a été abordée par Florian Lafani, responsable du développement numérique des Éditions Michel Lafon, avec une proposition d’entrer dans l’édition traditionnelle. Il publie le livre en 2013. Le roman une fois entré au catalogue de Michel Lafon s’est vendu à 300.000 exemplaires. L’éditeur a vendu les droits de traduction en plusieurs langues, notamment en allemand, coréen, espagnol, italien, néerlandais, polonais, russe et turc.

Face à cet enthousiasme, la romancière écrit un second roman, Entre mes mains le bonheur se faufile, publié en juin 2014, et un troisième, La vie est facile, ne t’inquiète pas, le 23 avril 2015, qui est la suite de « les gens heureux lisent et boivent du café », toujours chez Michel Lafon.

  Agnès Martin-Lugand a vendu plus de trois millions d’exemplaires de ses romans en France.

  Son premier roman, « Les gens heureux lisent et boivent du café » a été traduit en plusieurs langues et les droits cinématographiques de ce roman ont été acquis par le producteur américain Harvey Weinstein.

Elle a vendu plus de 3 millions d’exemplaires de ses romans en France et à l’étranger. En 2020, elle figure pour la troisième fois au palmarès des dix best-sellers de L’Express, aux côtés d’Amélie Nothomb, Sylvain Tesson, Karine Tuil ou encore Michel Houellebecq… et est publiée dans plus de 30 langues différentes.

Elle a été marraine de la Fête du livre de Saint-Étienne en 2016, membre du jury du prix littéraire Régine-Deforges en 2018 et 2019, et présidente du jury du prix littéraire Aufeminin.com.

Elle vit toujours à Rouen avec ses deux fils Simon et Rémi, de 10 et 6 ans et son mari et ne se sépare que rarement du blouson de cuir qu’elle s’est offert avec son premier cachet.

Œuvre :

  • 2013: Les gens heureux lisent et boivent du café
  • 2014: Entre mes mains le bonheur se faufile
  • 2015: La vie est facile, ne t’inquiète pas (suite de Les gens heureux lisent et boivent du café)
  • 2016 : Désolée je suis attendue
  • 2017 : J’ai toujours cette musique dans la tête
  • 2018 : A la lumière du petit matin
  • 2019 : Une évidence
  • 2020 : Nos résiliences
  • 2021 : La Datcha

Dans ses romans, Agnès Martin-Lugand aborde divers sujets de société qui lui tiennent à cœur : le deuil (Les gens heureux lisent et boivent du café), la reconstruction (La vie est facile, ne t’inquiète pas), les choix de vie et l’accomplissement (Entre mes mains le bonheur se faufile), l’addiction au travail (Désolée, je suis attendue), l’ambition (J’ai toujours cette musique dans la tête), l’adultère (À la lumière du petit matin), les secrets de famille (Une évidence) …

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