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… vu par Arlette

Legardinier Gilles ♦ Et soudain tout change

Et soudiain tout changePour sa dernière année de lycée, Camille a enfin la chance d’avoir ses meilleurs amis dans sa classe. Ils se connaissent depuis la maternelle.

Avec sa complice de toujours, Léa, avec Axel, Léo, Marie et leur joyeuse bande, la jeune fille découvre ce qui fait la vie.

À quelques mois du bac, tous se demandent encore quel chemin ils vont prendre. Ils ignorent qu’avant l’été, le destin va leur en faire vivre plus que dans toute une vie… Du meilleur au pire, avec l’énergie délirante et l’intensité de leur âge, entre espoirs démesurés, convictions et doutes, ils vont expérimenter, partager et se battre. Il faut souvent traverser le pire pour vivre le meilleur…

 

Et soudain tout change nous raconte une histoire à dimension très humaine, où chaque détail est soigné pour rendre au mieux ce délicat passage à l’âge adulte. Il véhicule de belles valeurs morales comme l’amitié, la solidarité, le sens du sacrifice pour le bien de ceux que l’on aime. Ce roman nous chante les petites folies de l’enfance, les rêves éveillés, les projets insensés, et nous amène petit à petit vers les vraies décisions, les plus belles, les plus justes. Celles qui perdurent malgré le temps qui passe et qui nous laissent des souvenirs doux-amers que l’on prend malgré tout plaisir à se remémorer.

Avec cette nouvelle aventure, Gilles signe un roman comme il en a le secret et qui, entre éclats de rire et émotions, nous ramène là ou tout commence vraiment.

 

L’auteur :

Gilles LegardinierGilles Legardinier est un écrivain et scénariste français né en 1965. Il a grandi dans la vallée de Montmorency, où il réside avec sa femme et ses deux enfants.

Il  travaille dès l’âge de 15 ans, il décroche des stages et travaille sur les plateaux de cinéma anglais et américain comme pyrotechnicien. Il s’oriente ensuite vers la production et réalise des films publicitaires ainsi que des bandes-annonces et quelques documentaires sur les coulisses de grands films. Il se consacre aujourd’hui à la communication écrite sur le cinéma et la réécriture de scénarios.

Parallèlement, il a publié plusieurs romans, dont des adaptations, mais aussi des livres pour la jeunesse « Le Sceau des Maîtres » et le « dernier Géant ». Son dernier roman, « L’Exil des Anges », un thriller associant une intrigue résolument originale à une émotion rare, a été plébiscité et primé.  

Avec sa femme, Pascale, il se consacre aujourd’hui à la communication écrite pour le cinéma et aux scénarios.

L’agence qu’il dirige avec sa femme est spécialisée en dossiers de presse, mais il est aussi script doctor et coach.

Quel meilleur moyen de faire connaissance que de dire franchement ce que l’on adore ou ce que l’on déteste ? Alors voilà…

Je n’aime pas la cannelle, l’amertume (au goût ou dans la vie…). J’aime bien les explications franches. Les manifestations de loyauté me bouleversent. Je ne suis pas fan de ceux qui mettent des citations partout pour faire cultivé. Je préfère de loin quelqu’un de simple qui a du cœur à un pseudo-intello qui n’a rien d’autre hormis l’estime de lui. J’aime beaucoup les gens qui font les choses sans se demander ce qu’elles vont leur rapporter. J’adore la sensation de la première gorgée d’eau avalée quand on a soif. Je n’aime pas lire pendant les périodes où j’écris – si c’est bien écrit, je me dis que je suis minable et si c’est mal écrit, je me demande pourquoi on dérange le public avec du boulot mal fait. Je déteste ceux qui méprisent les gens pour qui ils travaillent. Je n’aime pas la méchanceté gratuite. J’aime échanger des sourires ou parler de trucs très personnels avec des gens que je ne reverrai jamais – j’ai mis du temps à oser mais c’est vraiment génial. J’aime attendre les miens en sachant qu’ils viendront. J’adore faire des surprises. Je n’aime pas trop qu’on m’en fasse. Je déteste danser. J’adore regarder ceux qui dansent bien, ils m’inspirent. J’adore apercevoir des gens amoureux. Je regrette de ne pas savoir jouer du piano. Je me sens proche de ceux qui pensent que tout le devoir ne vaut pas une faute commise par tendresse. Je me sens aussi très proche de ceux qui disent qu’il faut être fort pour affronter une catastrophe et qu’il faut être grand pour s’en servir. Je n’aime pas les textes trop longs et nombrilistes alors soudain j’ai peur et je m’arrête là.

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