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… vu par Arlette

Connelly Michael ♦ Le cinquième témoin

Abandonnée par son mari, Lisa Trammel n’a soudain plus assez d’argent pour payer ses mensualités d’emprunt immobilier, et la Westland National Bank menace de saisir sa maison.

Affolée, elle engage l’avocat Mickey Haller, mais elle est si révoltée par l’épidémie de saisies liée à la crise des subprimes qu’elle manifeste souvent et violemment devant la banque au point de s’en voir interdire l’accès par la justice. Malheureusement pour Haller qui espérait gagner du temps en faisant traîner la procédure, le dossier se corse quand sa cliente est Soudain accusée du meurtre de Mitchell Bondurant, un cadre dirigeant de la Westland retrouvé mort dans le parking de son agence. Au fur et à mesure qu’il monte un système de défense bien hasardeux Haller découvre un certain nombre d’éléments qui l’amènent à douter de sa cliente et de lui-même, et ce, jusqu’au verdict.

 

L’auteur :

Michael Connelly est né le 21 juillet 1956 à Philadelphie. Il est l’un des principaux écrivains américains de romans policiers, relatant notamment les enquêtes de son héros récurrent Harry Bosch.

Il déménage avec ses parents en Floride en 1968, à l’âge de douze ans.

En 1980, il est diplômé de l’Université de Floride, avec un « bachelors degree » en journalisme.

Il commence sa carrière de journaliste comme chroniqueur judiciaire pour le « Daytona Beach » et « Le Fort Lauderdale » en Floride.

En 1986, il est le co-auteur avec deux confrères, d’un article sur les rescapés d’un terrible crash d’avion. Ce qui lui vaut de figurer parmi les finalistes pour le Prix Pulitzer en 1987, et qui lui permet de devenir chroniqueur judiciaire pour le Los Angeles Times. Il travaille pour le service société et se spécialise dans les affaires criminelles et judiciaires.

Il couvre les émeutes de Los Angeles en 1992, et précisément l’affaire Rodney King, ce Noir battu à mort par la police californienne, et reçoit le prix Pulitzer en compagnie de plusieurs autres confrères associés à cette investigation.

La découverte de l’auteur Raymond Chandler à l’Université lui donne l’envie d’écrire. Il se lance dans la carrière d’écrivain en 1992 avec « Les Égouts de Los Angeles », son premier polar, où l’on découvre le personnage de Hieronymus “Harry” Bosch, inspecteur du LAPD, qui démissionne et se met à son compte, avant de réintégrer le LAPD au service des affaires non résolues (service inventé par Michael Connelly, inspiré du service « Cold Case Homicide »), le héros récurrent de la plupart des romans suivants.

Il reçoit pour ce livre le prix Edgar du meilleur premier roman policier.

Il abandonne le journalisme en 1994. Il écrit par la suite environ un roman par an, en obtenant régulièrement un succès en librairie.

Il poursuit par l’écriture de trois romans avec ce personnage récurrent : « La glace noire » – « La blonde en béton » et « The last coyote », avant de publier en 1996 « Le poète », un thriller pour lequel il reçoit le prix Mystère en 1998 et « Créances de sang » le grand prix de la littérature policière.

Il se marie et a une fille en 1997.

En 1997, il retourne à  son personnage de Harry Bosch en publiant « Musique Tronc ».

En 1998, il écrit un autre thriller hors-série, « Blood Work ». Pour ce roman, il a été inspiré en partie par un ami qui venait de recevoir une greffe de cœur et qui avait le syndrome de la «culpabilité du survivant», à savoir que quelqu’un est mort pour avoir la chance de vivre.

« Créance de sang » est adapté au cinéma en 2002 par Clint Eastwood, qui y incarne Terry McCaleb, un ex-agent du FBI.

En 2011, son roman « La Défense Lincoln » est adapté au cinéma dans un film du même nom. Dans ce roman, il aborde le roman procédural qui lui permet d’utiliser son expérience passée de chroniqueur judiciaire.

Ayant quitté Los Angeles, il vit depuis 2001 avec sa famille à Tampa, en Floride.

À noter que Michael Connelly, ainsi que les autres écrivains et scénaristes Stephen J. Cannell, Dennis Lehane et James Patterson, apparait à plusieurs reprises dans son propre rôle dans la série Castle, lors de séquences présentant des parties de poker jouées avec Richard Castle, ainsi présenté comme le pair de ces auteurs bien réels, et avec qui il discute des affaires en cours.

Plus de 45.000.000 d’exemplaires de livres Connelly se sont vendus dans le monde entier et il a été traduit en trente-neuf langues étrangères. Il a remporté le Prix Edgar, Anthony Award, prix Macavity, Los Angeles Meilleur temps Mystère / Thriller Prix, Prix Shamus, Prix Dilys, Prix Nero, Prix Barry, Prix Audie, Prix Ridley, Maltese Falcon Prix (Japon), de calibre .38 Prix ​​(France), Grand Prix (France), Premio Bancarella Prix (Italie), et le prix Pepe Carvalho (Espagne).

Michael était le président des « Mystery Writers of America organisation » en 2003 et 2004.

En plus de son travail littéraire, Michael était l’un des créateurs, des écrivains, et les producteurs de consultation de niveau 9, une émission de télévision au sujet d’un groupe de travail lutte contre la cybercriminalité, qui a eu lieu sur UPN à l’automne de 2000.

Série Harry Bosch :

Harry Bosch est un personnage de fiction dans les romans policiers de Michael Connelly. Il est inspecteur (détective) dans la police de Los Angeles (LAPD)

Son nom exact est « Hieronymus Bosch », en souvenir du peintre hollandais du XVe siècle, « Harry » n’étant que le diminutif de son prénom.

Né en 1950, « Harry » Bosch est le fils de l’avocat Michael Haller (qui est également le père de Mickey Haller (l’avocat de La Défense Lincoln et du Verdict du Plomb), et de Marjorie Lowe, une prostituée assassinée le 28 octobre 1961, retrouvée sur Hollywood Bd.

Il a connu son père le jour de la mort de ce dernier, à son retour du Vietnam vers 1970. Il avait deux autres fils avec deux femmes différentes.

Alors qu’il était encore très jeune, sa mère est assassinée dans une ruelle (il reprendra cette affaire après être devenu policier au LAPD). Il est alors placé dans un foyer. Il va de famille d’accueil en famille d’accueil, toutes le ramenant au foyer, car il était trop « difficile. » Lorsqu’il quitte le foyer, il est dans un premier temps livré à lui-même. Puis, à 17 ans, il participe à la guerre du Viêt Nam, période pendant laquelle, il fut un « rat de tunnel ».

Il entre par la suite dans la police de Los Angeles où il enquêtera aux côtés de Jerry Edgar et Kizmin Rider et se frottera à de nombreux criminels et tueurs en série.

Michael HALLER, son demi-frère, est avocat. Marié et divorcé deux fois : avec Margaret McPHERSON avec qui il a eu une fille, Hayley. Puis avec Lorna TAYLOR.

Comme de nombreux enquêteurs typiques du genre hard-boiled, Bosch est en proie à de nombreux démons. Ses oppositions à sa hiérarchie, trop politisée à son goût ou qui n’a pas les mêmes exigences que lui, menacent plusieurs fois sa carrière. Son expérience d’orphelin à 11 ans, né de père inconnu, et de la guerre du Vietnam, fondent sa personnalité. Son expérience du Viêt Nam le hante, et ses liaisons amoureuses s’achèvent bien souvent lorsque le roman se clôt.

Bosch est le témoin de la diversité et de l’irascibilité du mal en l’homme tant ses investigations croisent des iter criminis nombreux et variés : serial killer, vengeance d’une sœur ourdie durant de longues années, prostituée jalouse de la réussite de son amie, militaires corrompus… Outre sa consommation d’alcool, Bosch a pour viatique sa morale inflexible (tout le monde compte ou personne ne compte), la beauté étrange de la ville du crime lorsqu’elle semble s’apaiser et la lueur entrevue dans les yeux de sa fille.

Bosch est défini dès le premier roman, Les Égouts de Los Angeles, comme un homme d’institutions : l’équivalent américain de la DASS, les foyers pour jeunes, les familles d’accueil, l’armée puis la police.

Impulsif et obsessionnel, il n’hésite pas, quand il juge que c’est « juste » ou nécessaire pour découvrir la vérité, à bafouer les règles de la Police.

Il découvre sa famille au fil des romans : sa fille Madeline, née en 1998, qu’il a eue avec Eleanor D. Wish dont il apprend l’existence quand elle a 4 ans, et son demi-frère, après avoir lui-même identifié son père au cours d’une enquête menée en free-lance. C’est un père très protecteur qui se sent beaucoup plus vulnérable dans son travail depuis qu’il sait qu’il a un enfant. Dans ses histoires d’amour, il semble attiré par des femmes qui ont une fêlure secrète (Eleanor Wish, Rachel Walling…).

Lorsqu’il découvre l’existence de sa fille, il devient plus humain tout en gardant néanmoins les marques de son caractère rigide et sa morale. En particulier, il est clairement pour la peine de mort (alors que son créateur est contre).

Bosch a pour viatique une morale inflexible. « Tout le monde compte ou personne » est sa devise. Il met le même acharnement à résoudre le meurtre d’anonymes et celui dont sa mère a été victime. Le fait qu’elle ait été une prostituée sans défense dont le meurtre n’ait pas été élucidé avant son intervention, une personne faisant partie de ces innombrables oubliés de la ville de Los Angeles, a sans doute construit sa détermination à résoudre toutes les énigmes de meurtres qui se présentent à lui, le poussant à travailler de son propre chef sur des affaires non résolues durant sa période de retraite. Harry Bosch a selon lui une « mission », celle de « parler au nom des morts ». Ce jusqu’au-boutisme le met régulièrement en décalage avec ses équipiers et sa hiérarchie, avec qui il a des relations souvent houleuses, et le pousse à prendre des risques que les autres ne prennent pas. Rien ni personne ne peut l’arrêter quand il est sur une affaire quels que soient les intérêts « supérieurs » en jeu (intérêts politiques, de la municipalité, de la police…). Très attaché à la « mission », il rempile dans la police après une période de retraite, grâce à un contrat spécifique réservé aux détectives expérimentés.

Assez solitaire et secret, il connaît pourtant l’importance du travail en équipe, même s’il lui arrive parfois de tenir ses équipiers à l’écart, voulant faire le travail lui-même. Il aime décider, agir et sentir l’adrénaline dans ses veines. Rétif à la « paperasse » inhérente aux affaires policières, il confie volontiers à ses équipiers tout ce qui est travail de rédaction. Il est méticuleux et quand il reprend une affaire ou étudie un cold case, il relit plusieurs fois attentivement « le livre du crime », le classeur où sont consignés tous les détails de l’affaire. Il est convaincu que la clé des énigmes se trouve dans le livre du crime. C’est à la fois un homme d’action et de dossiers.

Il connait très bien Los Angeles, qui est un personnage à part entière des romans. Il a choisi d’habiter une maison sur pilotis dans les collines, sur la terrasse de laquelle il domine la ville.

Intransigeant et obsessionnel, il n’hésite pas, quand il juge que c’est juste ou nécessaire pour découvrir la vérité, à passer outre les règles de la police. Pour autant il se maîtrise et n’exerce pas de violence gratuite. Il n’aime pas la trahison, le désintérêt de ses collègues pour leur travail, les manigances politiciennes de sa hiérarchie qui l’éloignent de sa « mission ». Il est pour la peine de mort (alors que son créateur est contre). Sa compassion va exclusivement aux victimes, même s’il peut occasionnellement s’interroger sur le fait que leurs bourreaux aient pu aussi être des victimes en amont.

Harry Bosch est un « flic à l’ancienne ». Il ne se précipite pas sur les progrès techniques qui pourraient faciliter son travail. Par exemple, dans quelques romans, il ne sait pas envoyer de mails ou faire une recherche sur Internet quand ses équipiers (et sa fille) le font déjà.

« Il est simplement sceptique. Il pense qu’on ne devrait pas être obnubilé par la technologie et oublier tout le reste. En tant que flic, il a grandi avec des valeurs qui viennent d’une autre époque où l’on s’appuyait sur l’instinct. Et de l’instinct, Harry en a à revendre ! » (Michael Connelly)

 

Sa vie et sa carrière :

Resté jusqu’à l’âge de 16 ans à l’orphelinat McLaren. Il connaît deux familles d’accueil peu de temps (dont Ed and Eileen FOSTER en 1965).

  • 1966-1967 : Adopté de 16 à 17 ans par Earl MORSE qui voulait faire de lui un joueur de baseball
  • De 1968 à 1969 : Il s’engage dans l’armée, dans l’infanterie et part au Vietnam où il intègre une unité souterraine. Revient en 1969.
  • De 1972 à 1978 : Il sort de l’Académie de police en 1972. Agent de patrouille à Hollywood et Wilshire pendant 5 ans.
  • De 1978 à 1981 : Service des homicides de North Hollywood puis service des vols et cambriolage de Van Nuys.
  • De 1981 à 1989 : Section criminelle spéciale de la brigade des vols et homicide de Los Angeles pendant 8 ans
  • 9 septembre 1990 : Affaire du Dollmaker, il tue le meurtrier présumé et est suspendu un mois
  • Octobre 1990 à mars 1994 : Criminelle de Hollywood
  • Mars 1994 à janvier 1995 : Congé forcé pour dépression
  • Janvier à septembre 1995 : Bureau des cambriolages de Hollywood
  • Septembre 1995 à janvier 2002 : Criminelle de Hollywood
  • Janvier 2002 : Il prend sa retraite la LAPD mais emmène avec lui un carton contenant ses enquêtes non résolues.
  • Septembre 2002 : Il reprend du service en privé avec l’affaire Angella Benton. Il possède alors une licence de détective privé. Il découvre qu’il a une fille de presque 4 ans, Madeline, qu’Eleanor Wish lui avait cachée.
  • Mai 2003 : Il enquête sur le retour du Poète.
  • Début 2005 : Il reprend du service à la LAPD au département des affaires non résolues.
  • Eté 2011 : Il part enquêter à Hong Kong pour récupérer sa fille Maddie, prise en otage.

 

Ses compagnes :

  • Vicki LANDRETH, maquilleuse, vers 1985
  • Eleanor D. WISH, agent du FBI, quelques jours en mai 1991
  • Térésa CORAZON, bureau du coroner, liaison en 1991
  • Sylvia MOORE, enseignante, pendant de fin décembre 1991 à janvier 1994
  • Jasmine CORIAN dit Jazz, artiste peintre en Floride, quelques semaines en mars 1994
  • Eleanor D. WISH, après trois ans et demi passés en prison à Tehachapi puis à Frontera. Il se marie avec elle en septembre 1995. Ils se séparent vers 1998. Elle décède en 2011 à Hong Kong.
  • Julia BRASHER, agent de police, liaison en janvier 2002
  • Eleanor D. WISH, une nuit en septembre 2002
  • Rachel WALLING, agent du FBI, liaison en mai 2003
  • Vicki LANDRETH, maquilleuse à la LAPD, début 2005
  • Rachel WALLING, agent du FBI, liaison en septembre 2006

Son lieu de résidence :

Woodrow Wilson Drive à Los Angeles dans sa maison achetée en 1982 grâce à un cachet de 50 000 $ d’un studio télé (il revend son nom pour les besoins d’une série. Son personnage est incarné par l’acteur Dan Lacey).

Maison en bois construite en bord de colline sur trois piliers en acier. Détruite en mars 1994 après un tremblement de terre. Reconstruite vers mars 1995….

Loue un appartement à Las Vegas pour se rapprocher de sa fille.

            Fumeur et Amateur d’alcool et de jazz

 

Il est conseillé de lire les romans relatifs à ce personnage dans l’ordre : certains détails dévoilant des informations sur le déroulement des histoires.

La chronologie de la vie d’Harry Bosch est compliquée à établir, Michael Connelly n’étant pas toujours très précis dans les informations de temps. Certaines erreurs chronologiques semblent même exister dans certains romans.

  • 1 – Les Égouts de Los Angeles (1993) – (The Black Echo, 1992), dans lequel Harry enquête sur la mort d’un toxicomane qu’il reconnaît comme un ancien rat de tunnel avec qui il a été au Viet-Nam
  • 2 – La Glace noire (1995) – (The Black Ice, 1993), dans lequel Harry enquête sur le suicide d’un de ses collègues
  • 3 – La Blonde en béton (1996) – (The Concrete Blonde, 1994), dans lequel Harry enquête sur le tueur en série surnommé dollmaker du fait de son goût macabre à maquiller ses victimes
  • 4 – Le Dernier coyote (1999) – (The Last Coyote, 1995), dans lequel Harry enquête sur la mort de sa mère
  • 5 – Le Cadavre dans la Rolls (1998) – (Trunk Music, 1997), dans lequel Harry se rend à Las Vegas pour enquêter sur la mort d’un producteur retrouvé dans le coffre de sa voiture
  • 6 – L’Envol des anges (2000) – (Angels Flight, 1999), dans lequel Harry enquête sur la mort d’un célèbre avocat noir assassiné dans le funiculaire « Angel Flight »
  • 7 – L’Oiseau des ténèbres (2001) – (A Darkness More Than Night, 2001) : où Harry Bosch croise Terry McCaleb, dans lequel Harry est soupçonné de meurtre
  • 8 – Wonderland avenue (2002) – (City of Bones, 2002), dans lequel Harry enquête sur le meurtre d’un enfant mort il y a 20 ans dont on retrouve les restes sur une colline
  • 9 – Lumière morte (2003) – (Lost Light, 2003), dans lequel Harry enquête sur un braquage aux ramifications complexes
  • 10 – Los Angeles River (2004) – (The Narrows, 2004), dans lequel Harry se trouve aux prises avec le célèbre tueur en série Le Poète (autre livre de Connelly, où apparaît Rachel Walling du FBI)
  • 11 – Deuil interdit (2005) – (The Closers, 2005), où Harry, de retour au LAPD, se trouve confronté au meurtre d’une jeune fille et aux analyses ADN
  • 12 – Echo Park (2007) – (Echo Park, septembre 2006)
  • 13 – À genoux (2008) – (The Overlook, mai 2007), dans lequel Harry se retrouve confronté à un vol de matière radioactive et joue un sale tour à Jack Bauer en résolvant l’énigme en moins de 8 heures
  • 14 – Le verdict du plomb (2009) – (The Brass Verdict, 2008), dans lequel Harry apparaît en tant que personnage secondaire, enquêtant sur la mort d’un avocat dont Mickey Haller prend la succession
  • 15 – Les neuf dragons (2011) – (9 Dragons, 2009), où Harry se lance sur la piste des triades chinoises et se rend jusqu’à Hong Kong pour tenter de sauver sa fille Madeline.
  • 16 – Volte-face (2012) – (The Reversal, 2010)
  • 17 – Le Cinquième Témoin (2013) – (The 5th Witness, 2011) – Roman du cycle Mickey Haller dans lequel Bosch fait une brève apparition.
  • 18 Ceux qui tombent (2014) – (The Drop, 2011)
  • 19 – Dans la ville en feu (2015) – (The Black Box, 2012)
  • 20 – Mariachi Plaza (2016) – (The Burning Room, 2014)
  • 21 – Jusqu’à l’impensable (2017) – (The Crossing, 2015) –
  • 22 – Sur un mauvais adieu (2018) –  The Wrong Side of Goodbye (2016) –
  • 23 – (en) –  Two kings of Truth (7) –

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