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… vu par Arlette

Bussi Michel ♦ N’oublier jamais

N'oublier jamaisJamal Salaoui arrive à Yport en Normandie, en février 2014. Il loge dans un petit hôtel sympathique « la Sirène » tenu par André. Il est venu en vacances ici pour s’entraîner à courir sur les falaises d’Etretat, la plus haute falaise d’Europe. Objectif, se prouver qu’avec une prothèse de jambe en carbone, on peut participer à un « Ultra-Trail ».

Près des falaises d’Etretat, il peut courir tous les jours de longues distances avec un fort dénivelé.

Ce jeune homme, dont l’enfance a été difficile, éducateur dans un établissement pour jeunes gens en difficulté, est déterminé à s’entraîner à la course car il s’est lancé un défi : être le premier handicapé à participer à « l’Ultra Trail du Mont-Blanc », course de montagne très longue et très dure. Il court vite, Jamal, très vite.

Et comme sa petite maman avait dû cumuler chat noir, passage sous échelle et bris de glace la veille de sa naissance, Jamal Salaoui, le maghrébin de la Cité de 4 000, La Courneuve, et la chance, partagent rarement le même trottoir.

Parti s’entraîner, ce matin du 19 février, Jamal effectue sa course qui lui fait prendre les impressionnantes falaises balayées par le vent et la mer impétueuse. Il a d’abord remarqué l’écharpe rouge certifiée 100 % pilou-pilou, de marque Burberry (détail qui a son importance) accrochée à une clôture. Puis la vision d’une femme, incroyablement belle, les yeux rivés aux siens, prête à sauter dans le vide. Les herbes hautes montaient jusqu’à mi-jambe et il se fit la réflexion que la fille n’avait peut-être pas aperçu la prothèse fixée à sa jambe gauche. Il se trouvait maintenant face à elle. Elle avait beaucoup pleuré, mais la fontaine semblait tarie. La maquillage autour de ses yeux avait coulé, puis séché. Jamal eut du mal à ordonner les signes contradictoires qui se bousculaient dans sa tête. Le danger. L’urgence.

Dix mètres. La fille apeurée, la robe déchirée, qui vient de se faire violer, s’est encore approchée du précipice, le dos offert au vide. Ils sont seuls. Le temps est suspendu. Ultime recours, Jamal lui tend l’écharpe, mais la femme saute dans le vide devant ses yeux. Et début des emmerdements de niveau stratosphérique pour ce poissard de compétition…

Il descend en courant, et lorsqu’il arrive près du corps, sur les galets glacés de la plage déserte, il y a deux personnes, une femme âgée Denise Joubain avec son chien, et un homme : Christian le Medef. Jamal trouve le corps inerte de l’inconnue, un filet de sang qui s’échappe du crâne. A son cou, l’écharpe rouge. Il appelle la police. Tout semble clair et les trois personnes seront convoquées comme témoin lors de l’enquête.

Ceci est la version de Jamal. Est-ce la vraie? Jamal est embarqué dans une spirale infernale qui va le conduire aux limites de la folie. Comment démêler le faux du vrai ? Jamal est-il malade, fou ? Affabule-t-il ? Se joue-t-il de nous ? Ou serait-ce l’auteur ? Que s’est-il vraiment passé sur cette falaise ?

La jeune femme, Magali Verron, est morte, avec l’écharpe nouée autour du cou. Cependant, c’est loin d’être aussi simple, car selon les résultats de l’enquête, la jeune femme serait morte par strangulation avec l’écharpe après avoir été violée comme on s’y attendait. Donc, Jamal va passer du statut de témoin à celui de possible meurtrier. Il va donc être obligé de mener sa propre enquête, car on apprend que dix ans plus tôt, dans la même région deux filles Morgan Avril et Myrtille Camus ont été violées et étranglées à 1 mois d’intervalle, avec une écharpe rouge de marque Burberry aussi.

Jamal rencontre en sortant de sa déposition, une jeune femme Mona qui recherche des galets dans la région pour un laboratoire. Ils deviennent proches et elle semble croire les propos de Jamal quand tout s’emballe… Jamal est d’origine nord-africaine, semble adorer les gamines pré-pubères qu’il croise à l’institut thérapeutique qui l’embauche. Pour attirer la sympathie de flics soupçonneux, y a mieux comme CV. Dans son malheur, deux témoins de la scène pourront facilement corroborer les faits. Je vous ai déjà parlé de son abonnement à baraka mag ?

Ce qui trouble c’est que ces deux meurtres ont le même profil que celui qui vient de se produire.
Encore plus étrange, quelqu’un lui envoie anonymement des lettres avec des coupures de presse des deux premiers meurtres (récit, articles de presse, comptes rendus de police…). Mais quand Jamal commence à recouper toutes les infos dont il dispose, il va s’apercevoir que Morgan Avril a une ressemblance physique avec Myrtille Camus. Encore plus étrange, toutes les infos qu’il a correspondent : même lieu de naissance et jour de naissance, même école primaire. Tout les relie comme s’il s’agissait de sœurs jumelles, sauf que 10 ans les séparent et que c’est alors impossible. Jamal doit découvrir ce qui se passe, mais il est recherché et s’il veut en savoir plus il doit se cacher.

L’auteur :

Michel BussiMichel Bussi, né le 29 avril 1965 à Louviers dans l’Eure, est un auteur français de romans policiers. Il a grandi au Manoir, entre Louviers et Rouen, une petite ville industrielle au bord de la Seine avec son aciérie et sa papeterie qui ont fermé depuis belle lurette. Sa mère, institutrice catholique, élevait seule ses trois enfants – son mari est décédé d’un accident lorsque Michel Bussi avait 10 ans.

Au collège, il dévore Agatha Christie, Ray Bradbury, Barjavel, Lenteric. Il restera un lecteur de romans populaire. «Un de mes maîtres, c’est Serge Brussolo. Un génie pur. Il publiait un livre tous les trois mois: de la SF, du policier, de l’historique.» Il est intarissable sur les Grangé, Japrisot, Chattam, les rois des Relay. Ne lit presque jamais de «littérature blanche».

Politologue français, professeur de géographie à l’université de Rouen, où il dirige une UMR du CNRS, il est spécialiste de géographie électorale.

Il vit à Darnétal, la ville la plus pauvre de l’agglomération rouennaise. Il fréquente toujours ses amis de collège, qu’il retrouve au club de sport, où il fait du ping-pong. Certains sont profs, d’autres ouvriers. Ils relisent ses manuscrits.

Michel Bussi a commencé à écrire dans les années 1990. Alors jeune professeur de géographie à l’université de Rouen, il écrit un premier roman, situé à l’époque du Débarquement de Normandie. Ce dernier est refusé par l’ensemble des maisons d’édition. Il écrit quelques nouvelles, s’attelle à l’exercice de l’écriture de scénarios mais sans parvenir à les faire publier. Il attendra dix ans pour que l’idée d’un roman, inspiré d’un voyage à Rome au moment du pic de popularité du Da Vinci Code de Dan Brown, s’impose. Ce succès d’édition international, ainsi que la lecture d’une réédition de Maurice Leblanc pour le centenaire d’Arsène Lupin, le poussent à se lancer dans un travail d’enquêteur.

De retour à Rouen, équipé de ses cartes de l’IGN, il noircit des carnets jusqu’à pouvoir proposer, en 2006, un manuscrit intitulé Code Lupin à un éditeur régional et universitaire, les éditions des Falaises. Ce premier roman sera réédité neuf fois.

Premier livre, Code Lupin, a ensuite été publié en feuilleton, pendant 30 jours lors de l’été 2010 par le quotidien Paris Normandie. Il est paru en édition de poche en 2014.

Son premier roman, Omaha crimes, a obtenu le prix Sang d’encre de la ville de Vienne en 2007, le prix littéraire du premier roman policier de la ville de Lens 2008, le prix littéraire lycéen de la ville de Caen 2008, le prix Octave Mirbeau de la ville de Trévières 2008 et le prix des lecteurs Ancres noires 2008 de la ville du Havre, devant les meilleurs auteurs de polar de l’année. Il a été réédité en octobre 2014 sous le titre Gravé dans le sable.

Il publie en 2008 son troisième roman, Mourir sur Seine, qui se déroule pendant l’Armada 2008 de Rouen, et qui s’est vendu en quelques semaines à plusieurs milliers d’exemplaires. Mourir sur Seine a obtenu en 2008 le prix du Comité régional du livre de Basse-Normandie (prix Reine Mathilde). Il est réédité en édition de poche en janvier 2015.

Il a publié en 2009 un nouveau roman, Sang famille, destiné à la fois aux adultes et aux adolescents.

En 2010, il participe au recueil de nouvelles Les Couleurs de l’instant, avec une longue nouvelle, « T’en souviens-tu mon Anaïs ? », qui se déroule à Veules-les-Roses et traite de la « légende » d’Anaïs Aubert.

À partir de 2010, il est publié aux Presses de la Cité.

Son roman Nymphéas noirs, huis-clos qui se déroule dans le village de Giverny, sort le 20 janvier 2011. Il obtient un succès critique et populaire important, et remporte notamment le prix des lecteurs du festival Polar de Cognac, le prix du polar méditerranéen (festival de Villeneuve-lez-Avignon), le prix Michel Lebrun de la 25ème heure du Mans, le prix des lecteurs du festival Sang d’Encre de la ville de Vienne (« gouttes de Sang d’encre »), le Grand prix Gustave Flaubert de la Société des écrivains normands, devenant ainsi le roman policier français le plus primé en 2011.

En janvier 2012, il publie Un avion sans elle. S’il reste fidèle aux intrigues psychologiques fondées sur les faux-semblants et la manipulation du lecteur, mêlant passé et présent, ce roman, pour la première fois, n’est pas principalement situé en Normandie. Salué par Gérard Collard comme le polar de l’année, « Un avion sans elle » est récompensé par le prix Maison de la presse 2012, le Prix du Roman populaire 2012 et le Prix du Meilleur Polar francophone 2012 (Montigny-les-Cormeilles). Le roman s’est aujourd’hui, toutes éditions confondues, vendu à plus de 600 000 exemplaires. Il sera adapté au cinéma. Il est publié en feuilleton dans l’Est républicain, à partir de septembre 2013 et pendant plus de 200 jours. Et vingt-cinq pays en ont acheté les droits de traduction (Espagne, Allemagne, Italie, Russie, Pologne, Bulgarie, Hongrie, Japon, Corée, Lituanie, Portugal, Taïwan, Angleterre, Israël, Brésil, république Tchèque, Slovaquie, Norvège, Grèce, Turquie, Pays-Bas, Viêt Nam, Lettonie, Roumanie, Serbie…).

Plusieurs années seront nécessaires pour que les ouvrages de Michel Bussi, qui paraissent au rythme d’un par an, tel Mourir sur Seine en 2008, ou Nymphéas Noirs en 2011, voient leurs ventes s’envoler. Après une série de récompenses locales, grâce à ses premières éditions en livre de poche, mais surtout grâce à la sortie en rayon polar de son ouvrage maître Un avion sans elle, l’auteur géographe est propulsé sur le devant de la scène.

Une des particularités de son travail est de situer la majorité de ses romans en Normandie. Ce tropisme normand, ajouté à son enseignement et ses recherches en Normandie, l’ont amené à être élu « Parrain officiel » de la Fête Des Normands, édition 2014, fête régionale normande fêtée sur l’ensemble de son territoire et au-delà.

Depuis 2013, Michel Bussi est l’auteur français de roman policier le plus lu, il se place en 8ème position des auteurs les plus vendus en France. Son dernier opus N’oublier jamais, sorti en mai 2014, met « plus que jamais » la Normandie au cœur de son intrigue.

En mars 2013, Ne lâche pas ma main entraîne le lecteur sur l’île de La Réunion, sous le soleil et les palmiers, décor paradisiaque et anxiogène d’un roman tout en tension et suspense, dont l’intrigue, qui se dénoue par la révélation d’une terrible manipulation, est en partie suivie à travers le regard d’une petite fille de six ans. 200 000 exemplaires ont été vendus à ce jour, en différentes éditions. Décor idyllique pour un couple amoureux, pourtant le rêve tourne au cauchemar lorsque la femme disparaît de sa chambre d’hôtel. Son mari, soupçonné du meurtre, s’enfuit en embarquant leur fille. Une course poursuite commence alors…

Cette année 2013 sacre Michel Bussi « auteur français de polars le plus vendu » (source GFK), et il se classe par ailleurs 8ème meilleure vente française 2013 (Le Figaro littéraire).

2014 a vu en mai la parution de N’oublier jamais et la réédition, en octobre, sous le titre Gravé dans le sable, de son premier roman (Omaha Crimes, 2007). La Normandie est dans l’un comme l’autre mise à l’honneur.

Point de départ de N’oublier jamais : une écharpe rouge au cou d’une jeune femme qui vient de sauter dans le vide du haut d’une falaise d’Yvetot. Mais une écharpe qui ne peut absolument pas se trouver là ! Tout au long des 500 pages d’une lecture en apnée, jusqu’au « twist » final, désormais la marque Bussi, le lecteur jubile. Déjà plus de 90 000 lecteurs ont été conquis.

Relire et rééditer son premier roman, Gravé dans le sable, au moment où l’on fête les 70 ans du Débarquement a permis à Michel Bussi de rendre de nouveau hommage aux jeunes héros de la Seconde Guerre mondiale. Son tempérament d’écrivain, sa maîtrise de la « mécanique d’horloger » qu’il affectionne dans tous ses romans sont déjà bien là ! Près de 60 000 l’ont déjà aimé !

5ème auteur le plus lu en France en 2014, Michel Bussi sera certainement présent dans le top 5 de l’année 2015.

Maman a tort, paru en mai 2015, n’a pas quitté le top 20 des polars de l’année… Michel Bussi reste l’auteur de polars français le plus lu ! Déjà 180 000 exemplaires en grand format. L’édition de poche paraît en mai 2016.

Michel Bussi publie le 4  mai 2016 Le temps est assassin. Baignée par les parfums et saveurs de la Corse, c’est une partition légèrement nostalgique, qui balance des eighties à l’été 2016, qu’il nous fait jouer. On se rappelle des vacances en famille, des morsures du soleil et des amours nées sur la plage. L’intrigue vibre au diapason de l’adolescence : un cocktail d’émotions fortes, violentes, profondes. A lire en apnée jusqu’au twist final !

Bibliographie :

Thrillers :

  • Code Lupin – 2006
  • Omaha Crimes – 2007
  • Mourir sur Seine – 2008
  • Sang famille, traqué dans les iles anglo-normandes – 2009
  • Nymphéas noirs – 2011
  • Un avion sans elle – 2012
  • Ne lâche pas ma main – 2013
  • N’oublier jamais – 2014
  • Gravé dans le sable – 2014
  • Maman a tort – 2015
  • Le temps est assassin – 2016

Essais

  • Eléments de géographie électorale à travers l’exemple (Publication de l’Université de Rouen en 1998)
  • Pour une nouvelle géographie du politique, territoire, démocratie, élection (Anthropos en mars 2004)
  • Un monde en recomposition (Publication de l’Université de Rouen en 2010)

Prix littéraires :

Le succès de Michel Bussi, c’est celui de la France des petits prix littéraires, dont la presse se fait rarement l’écho. Il en totalise une vingtaine, qu’on lui a décernés au Havre, au Mans, à Lens, Caen, Trévières, Cognac, Villeneuve-lez-Avignon, Elven, Montigny-lès-Cormeilles, Liège, Estaimpuis, Vaugneray, Ouessant. Il envoie ses livres lui-même, colle les timbres et les enveloppes, surveille les échéances, prend des trains Corail pour recevoir ses trophées aux quatre coins du pays.

Omaha Crimes / Gravé dans le sable

  • 2007, prix Sang d’encre de la ville de Vienne (Isère)
  • 2008, prix littéraire du premier roman policier de la ville de Lens (Pas-de-Calais)
  • 2008, prix littéraire lycéen de la ville de Caen
  • 2008, prix Octave Mirbeau de la ville de Trévières
  • 2008, prix des lecteurs Ancres noires de la ville du Havre

Mourir sur Seine

  • 2008, prix du Comité régional du livre de Basse-Normandie (prix Reine Mathilde)

Nymphéas noirs

  • 2011, prix des lecteurs du festival Polar de Cognac
  • 2011, prix du polar méditerranéen (festival de Villeneuve-lez-Avignon)
  • 2011, prix Michel Lebrun de la 25e heure du Mans
  • 2011, Grand prix Gustave Flaubert de la Société des écrivains normands
  • 2011, prix des lecteurs du festival Sang d’Encre de la ville de Vienne (« gouttes de Sang d’encre »)
  • 2011, Finaliste du prix mystère de la critique (3e), du prix du polar francophone de Montigny-lès-Cormeilles (2ème), du prix marseillais du polar, du prix Polar de Cognac, du prix du roman populaire d’Elven, du prix Plume-Libre, du prix plume de Cristal du festival policier de Liège
  • 2014, prix « critiques-libres.com » (site de littérature en ligne-14 000 membres)
  • 2015, Prix Domitys (prix des maisons de retraite)

Un avion sans elle

  • 2012, Prix Maison de la Presse
  • 2012, prix du polar francophone de Montigny-lès-Cormeilles
  • 2012, prix du roman populaire (Elven)
  • 2012, prix « à chacun son histoire », (Estampuis, Belgique).
  • 2012, finaliste du Grand Prix de littérature policière, finaliste du prix Polar de Cognac
  • 2013, prix polar des lecteurs, NVN, le Noir du Val Noir (Vaugneray)
  • 2014, prix Dupuy 2014 (lycée Dupuy de Lôme)

Ne lâche pas ma main

  • 2013, Livre du mois de mai, prix Relay des voyageurs-Europe 1
  • 2013, Prix du roman insulaire, salon du livre insulaire d’Ouessant, catégorie « policier »
  • 2013, Prix des lecteurs « Voyage au cœur du polar », bibliothèque de Mesnil-Esnard.
  • 2014, Prix littéraire du Pays de Pouzauges
  • 2014, Prix « la Plume Martraise » (Martres-Tolosane)
  • 2013, finaliste du grand prix de littérature policière, finaliste du prix Interpol’art, finaliste du prix Polar de Cognac

Maman a tort

  • 2015, Prix Sang d’encre des lycéens 2013

N’oublier jamais                                          

  • 2016, Prix du talent littéraire normand

S’il est bien un auteur français dont on parle beaucoup ces derniers temps, en dehors du Prix Nobel de Littérature 2014, Patrick Modiano, c’est bien de  Michel Bussi, un des dix meilleurs vendeurs pour 2013, avec un rythme de 3 à 4 livres par an.

Mais on entend de tout sur Michel Bussi, et pas uniquement en bien. Ainsi reviennent souvent les critiques comme quoi Michel Bussi est un auteur de gare au style pauvre, que ces romans sont de faux romans policier, tout juste bons pour une collection Harlequin déguisée pour femme boulimique littéraire.

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