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… vu par Arlette

Legardinier Gilles ♦ Demain, j’arrête !

demain j'arrête Avec cette première comédie, Gilles Legardinier – déjà remarqué pour ses deux thrillers L’Exil des Anges et Nous étions les hommes – révèle une nouvelle facette d’une imagination qui n’a pas fini de surprendre. Drôle, percutant, terriblement touchant, son nouveau roman confirme ce que tous ceux qui ont lu un de ses livres savent déjà : Gilles a le don de raconter des histoires originales qui nous entraînent ailleurs tout en faisant résonner notre nature la plus intime. Voici un livre qui fait du bien !

Comme tout le monde, Julie, 28 ans, a fait beaucoup de trucs stupides.

Lors d’une soirée organisée par des amis, Julie rencontre un homme qui lui pose une question surréaliste : « C’est quoi le truc le plus idiot que tu aies fait dans ta vie ? ». Voilà notre Julie bien embarrassée, se demandant à quoi cet homme veut en venir mais elle se démène pour apporter une réponse, la plus plausible possible.

Elle pourrait raconter la fois où elle a enfilé un pull en dévalant des escaliers, celle où elle a tenté de réparer une prise électrique en tenant les fils entre ses dents, ou encore son obsession pour le nouveau voisin qu’elle n’a pourtant jamais vu, obsession qui lui a valu de se coincer la main dans sa boîte aux lettres en espionnant un mystérieux courrier… Mais tout cela n’est rien, absolument rien, à côté des choses insensées qu’elle va tenter pour approcher cet homme dont elle veut désormais percer le secret.

Julie a de nombreux amis et un travail dans une banque qui lui pèse de plus en plus, une petite vie bien rangée certes… Mais sa vie sentimentale va à vau-l’eau puisque son compagnon vient de la quitter. En pleine déprime, elle tente de trouver un exutoire à son désarroi et s’intéresse de plus en plus à son voisin jusqu’à prendre des risques insensés afin de l’approcher…

Poussée par une inventivité débridée, à la fois intriguée et attirée par cet inconnu à côté duquel elle vit mais dont elle ignore tout, Julie va prendre des risques toujours plus délirants, jusqu’à pouvoir enfin trouver la réponse à cette question qui révèle tellement : pour qui avons- nous fait le truc le plus idiot de notre vie ?

Voici un roman résolument positif et optimisme, au ton gentiment délirant et déjanté     

 

L’auteur :

 

Gilles Legardinier est un écrivain et scénariste français né en 1965. Il a grandi dans la vallée de Montmorency, où il réside avec sa femme et ses deux enfants.

 Il  travaille dès l’âge de 15 ans, il décroche des stages et travaille sur les plateaux de cinéma anglais et américain comme pyrotechnicien. Il s’oriente ensuite vers la production et réalise des films publicitaires ainsi que des bandes-annonces et quelques documentaires sur les coulisses de grands films. Il se consacre aujourd’hui à la communication écrite sur le cinéma et la réécriture de scénarios.

 Parallèlement, il a publié plusieurs romans, dont des adaptations, mais aussi des livres pour la jeunesse « Le Sceau des Maîtres » et le « dernier Géant ». Son dernier roman, « L’Exil des Anges », un thriller associant une intrigue résolument originale à une émotion rare, a été plébiscité et primé.  

 Avec sa femme, Pascale, il se consacre aujourd’hui à la communication écrite pour le cinéma et aux scénarios.

 L’agence qu’il dirige avec sa femme est spécialisée en dossiers de presse, mais il est aussi script doctor et coach.

 Quel meilleur moyen de faire connaissance que de dire franchement ce que l’on adore ou ce que l’on déteste ? Alors voilà…

 

Je n’aime pas la cannelle, l’amertume (au goût ou dans la vie…). J’aime bien les explications franches. Les manifestations de loyauté me bouleversent. Je ne suis pas fan de ceux qui mettent des citations partout pour faire cultivé. Je préfère de loin quelqu’un de simple qui a du cœur à un pseudo-intello qui n’a rien d’autre hormis l’estime de lui. J’aime beaucoup les gens qui font les choses sans se demander ce qu’elles vont leur rapporter. J’adore la sensation de la première gorgée d’eau avalée quand on a soif. Je n’aime pas lire pendant les périodes où j’écris – si c’est bien écrit, je me dis que je suis minable et si c’est mal écrit, je me demande pourquoi on dérange le public avec du boulot mal fait. Je déteste ceux qui méprisent les gens pour qui ils travaillent. Je n’aime pas la méchanceté gratuite. J’aime échanger des sourires ou parler de trucs très personnels avec des gens que je ne reverrai jamais – j’ai mis du temps à oser mais c’est vraiment génial. J’aime attendre les miens en sachant qu’ils viendront. J’adore faire des surprises. Je n’aime pas trop qu’on m’en fasse. Je déteste danser. J’adore regarder ceux qui dansent bien, ils m’inspirent. J’adore apercevoir des gens amoureux. Je regrette de ne pas savoir jouer du piano. Je me sens proche de ceux qui pensent que tout le devoir ne vaut pas une faute commise par tendresse. Je me sens aussi très proche de ceux qui disent qu’il faut être fort pour affronter une catastrophe et qu’il faut être grand pour s’en servir. Je n’aime pas les textes trop longs et nombrilistes alors soudain j’ai peur et je m’arrête là.   

 

One thought on “Legardinier Gilles ♦ Demain, j’arrête !

  1. En me promenant côté librairie, je me suis arrêtée devant un livre parce que j’ai été attirée par la couverture, qui représentait un chat plutôt rigolo, je suis une amoureuse des chats. Donc j’ai fait ma curieuse le titre du livre « demain j’arrête » l’hauteur Gilles Legardinier connait pas, je parcours le résumé qui me plait bien, ça m’a l’air amusant et sympa.
    Et là j’ai dévoré le livre, et je me suis régalée, plein d’humour, j’ai ri, enfin une bouffée d’oxygène.
    Merci . Mais je ne me suis pas arrêtée là, je suis allée acheter l’autre livre « complètement cramé » qui au moment où je vous envoie ce mail je ne l’ai pas encore lu,mais j’ai hâte de lire, la couverture est un petit clin d’œil à ma vie, le chat évidemment, mais surtout qu’il soit dans une casserole en cuivre, je suis commerçante et je vend des casseroles en cuivre, dans une petite ville touristique qui se prénomme Villedieu les poêles, en ce moment nous en parlons beaucoup, car les cloches de Notre Dame y on était fabriqué et c’est la cité du cuivre, voilà j’avais envie de vous dire ce que je ressentais .
    Peut-être que vous ne lirez pas ce mail, mais c’est pas grave, mais j’ai découvert un nouvel écrivain.
    Merci encore
    Très cordialement
    Catherine

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